UNE PEAU SAINE GRÂCE AUX VITAMINES ET AUX OLIGOÉLÉMENTS

Les compléments alimentaires enrichis en vitamines et en actifs minéraux boostent l’éclat de la peau et retardent les effets du vieillissement. En plus, ils complètent idéalement les soins. De nos jours, les compléments alimentaires font partie intégrante de la cosmétologie car, des études l’ont démontré, ils peuvent maintenir et améliorer l’état de la peau. Pour bien fonctionner, tout comme l’ensemble de l’organisme, la peau dépend d’un bon apport en micronutriments pour exercer de façon optimale toutes ses fonctions physiologiques.

LES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES EN DERMOCOSMÉTOLOGIE

Qu’est-ce qu’un complément alimentaire en dermocosmétologie ?

Le concept de complément alimentaire a été défini par la directive 2002/46/CE du Parlement Européen et du Conseil du 10 juin 2002, transposé en droit français par le décret du 20 mars 2006.

D’après le décret du 20 mars 2006 (article 2), on entend par : "compléments alimentaires", les denrées alimentaires dont le but est de compléter le régime alimentaire normal et qui constituent une source concentrée de nutriments ou d'autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique seuls ou combinés, commercialisés sous forme de doses, à savoir les formes de présentation telles que les gélules, les pastilles, les comprimés, les pilules et autres formes similaires, ainsi que les sachets de poudre, les ampoules de liquide, les flacons munis d'un compte-gouttes et les autres formes analogues de préparations liquides ou en poudre destinées à être prises en unités mesurées de faible quantité. Les vitamines et les oligoéléments font partie de ces nutriments.

Les compléments alimentaires complètent le régime alimentaire, ils ne viennent pas se substituer aux aliments courants. Leurs apports nutritionnels s’ajoutent aux apports issus de l’alimentation courante. À la différence des aliments classiques, les compléments alimentaires ne contiennent pas de glucides, lipides et protéines. Ils n’ont pas de valeur énergétique.

Les compléments alimentaires qui ont pour cible la beauté et la santé de la peau sont appelés les nutricosmétiques (nutrition + cosmétique). Leur consommation fournit à la peau un apport en principes actifs bio-disponibles via la digestion plus importante que ceux résultant de l’alimentation. 

Pourquoi prendre des compléments alimentaires ?

Généralement, la consommation d'au moins 5 portions de fruits et de légumes frais permet de satisfaire les besoins de tout l’organisme en micronutriments, ces derniers ne pouvant pas toujours être fabriqués par l'organisme. 

Mais selon Interfel (association loi de 1901 et un lobby créé en 1976 qui représente les organisations professionnelles de la production et de la distribution des fruits et légumes frais), seul 1 Français sur 3 consomme les 5 portions conseillées. Les Français sont encore à la traine en termes d'alimentation équilibrée. "Manger 5 fruits et légumes par jour" : pas toujours compris ni suivi par tous. Et aussi, en ce qui concerne la peau, parce qu’un soin appliqué sur la peau ne peut pas fournir tout ce dont elle a besoin.

Les vitamines et les oligoéléments contenus dans les compléments alimentaires agissent-ils sur la peau ?

Les vitamines sont des substances sans valeur énergétique pourtant essentielles pour l’organisme. Ces substances sont en effet nécessaires à un grand nombre de processus physiologiques. À l'exception de 2 vitamines (vitamines K et D), le corps humain est incapable de les fabriquer. De ce fait, leur apport par l'alimentation est primordial pour le fonctionnement harmonieux de notre organisme.

Les vitamines et les oligoéléments jouent donc des rôles essentiels. Ils exercent une forte influence sur la santé de nos organes et bien évidemment sur les propriétés de notre peau.

Une carence en vitamines et en oligoéléments a une répercussion importante sur la peau, elle peut provoquer un vieillissement prématuré voire des maladies de peau. Nous disposons de preuves scientifiques de l’utilité de la supplémentation et de l’efficacité sur la peau des vitamines et des oligoéléments pris en complément alimentaire. Nous savons que la peau est plus belle et vieillit moins vite sous l’influence des compléments alimentaires enrichis en vitamines et en oligoéléments.

LA PEAU : CIBLE DES NUTRI-COSMÉTIQUES

La peau 

La peau est un bouclier qui protège notre organisme de l’extérieur. Outre son rôle de protection contre les agressions externes, elle assure une fonction d’échanges, une fonction de thermorégulation, une fonction sensorielle, une fonction métabolique (elle fabrique de la vitamine D), sans oublier son rôle social. La peau occupe une place privilégiée dans le sentiment d'être beau et dans l’apparence.

Elle est constituée de 3 couches de tissus :

• L’épiderme : 

  La couche la plus externe. L’épiderme n’est pas vascularisé ; les nutriments proviennent du derme et y pénètrent par diffusion. La couche cornée, partie la plus superficielle de l’épiderme, et son film hydrolipidique empêchent l’évaporation de l’eau de l’organisme vers l’extérieur.

• Le derme :

  La couche intermédiaire. Le derme est un tissu conjonctif constitué d’une matrice riche en acide hyaluronique dans laquelle baignent des cellules appelées fibroblastes, des fibres de collagène et des fibres élastiques. L'acide hyaluronique est une macromolécule qui fixe et retient l’eau dans le derme. Une des fonctions du collagène est de maintenir l'élasticité et la fermeté de la peau. Les fibroblastes sont les cellules du derme qui fabriquent les composants de la matrice extracellulaire, l’acide hyaluronique, le collagène et l’élastine. Contrairement à l’épiderme, le derme est traversé par un grand nombre de vaisseaux et, outre son rôle de soutien, il joue un rôle nutritif. 

• L’hypoderme :

  La couche profonde, en dessous du derme, constituée de tissu adipeux.

Lorsque les apports en eau ou en nutriments font défaut, les mécanismes physiques, chimiques et biochimiques sont endommagés et ne permettent plus à la peau de bien fonctionner, de lutter contre l’inflammation induite par ses ennemis que sont les UVs du soleil, la pollution, le manque de sommeil, le tabac, le stress, le froid, … Les imperfections apparaissent, quel que soit l’âge. La peau devient terne, rugueuse, atone, ingrate avec des boutons et précocement surviennent les signes de l’âge (rides, taches brunes). La peau est venue à bout de ses capacités de défense naturelle.

Quels sont les moyens de défense naturelle de la peau contre l’inflammation causée par les agresseurs ?

• Contre les UVs du soleil, les mélanocytes dans l’épiderme. Ce sont des cellules capables de synthétiser un pigment appelé mélanine. La mélanine absorbe les rayons ultraviolets et protège ainsi les cellules. Le principal rôle de la mélanine est un rôle photoprotecteur. 

• Contre les agressions physiques, chimiques ou biologiques, les cellules de Langerhans dans l’épiderme. Elles sont l’un des éléments du système immunitaire de la peau. Elles assurent la défense immunologique de la peau. Leur nombre diminue chez les sujets âgés ainsi que dans les zones exposées au soleil. 

• Contre les agressions infectieuses, la production de défensines. La remarquable résistance aux infections de la peau s’explique notamment par le fait que la peau est capable de produire, de façon constitutive ou induite des protéines, appelées défensines, qui possèdent une large activité antimicrobienne. Elles sont capables de contrôler la croissance bactérienne au niveau de la peau et éventuellement de lutter contre les infections. Ces molécules sont synthétisées dans les kératinocytes (cellules de l’épiderme). Leur sécrétion est stimulée lors d’un contact avec une bactérie ou un champignon. Plusieurs types cellulaires participent à la défense immunitaire, principalement les kératinocytes, les cellules de Langerhans mais aussi les lymphocytes T et les macrophages du derme. 

• Contre les radicaux libres, la production d’antioxydants naturels. Les antioxydants sont des molécules qui combattent les radicaux libres dans l’organisme. Sous l’effet d’agressions extérieures, les cellules de la peau produisent en permanence des produits d’oxydation de molécules hautement réactives, les radicaux libres qui affectent la structure de la peau et causent un vieillissement prématuré de la peau. L’organisme produit lui-même certains antioxydants mais la grande majorité des antioxydants doivent être obtenus à partir des aliments consommés ou de suppléments.  

• Contre les UVs du soleil, la pollution, la chaleur, le froid, la climatisation, le vent, …, le microbiote cutané.  Ces agresseurs conduisent à la formation de molécules hautement toxiques (les radicaux libres) aussi bien pour les bactéries que pour les cellules de l’épiderme. Or, certaines bactéries du microbiote cutané sont capables de les neutraliser grâce à des moyens de défense qu’elles sont capables de fabriquer quand elles y sont confrontées. Le microbiote participe, avec le système immunitaire de la peau, au mécanisme de réparation de la peau et à la lutte contre les agents infectieux.

Ce qu’il faut retenir : face à des attaques qui s’accumulent dans le temps, la peau peut devenir vulnérable, ses moyens de défense naturelle sont dépassés. Bien que la peau anticipe avec des moyens de défense naturelle, la supplémentation en nutriments peut servir de protection supplémentaire. Il faut aider la peau à supporter tous ses ennemis avec des soins externes ET des compléments alimentaires pour éviter qu’elle perde sa souplesse, son éclat et sa jeunesse.

VITAMINE C, NUTRICOSMETIQUE ET PEAU

Les preuves scientifiques de l’utilité de la supplémentation et de l’efficacité sur la peau de la vitamine C prise en complément alimentaire.

L’organisme est incapable de fabriquer la vitamine C, elle doit donc être avalée. La vitamine C (ou acide ascorbique) est une vitamine hydrosoluble, sensible à la chaleur et à la lumière. On comprend donc qu’une crème de soin contenant de la vitamine C peut devenir biologiquement inactive et ne servir à rien si elle est exposée ou conservée à la chaleur, à la lumière. On trouve principalement la vitamine C dans les agrumes, mais aussi dans les légumes. Or, des chercheurs ont conclu que les fruits et les légumes qui ont mal mûri et qui sont vendu dans les épiceries sont déficients en vitamine C, ils pensent donc que la supplémentation est importante (1). L’Apport Nutritionnel Conseillé (ANC) pour un homme adulte est de 110mg/jour et de 120mg/jour pour les fumeurs. De plus, ajouter de la vitamine C par voie orale est théoriquement utile pour maintenir le réservoir du corps à 1500mg, réservoir rapidement appauvri lorsque celui-ci est exposé aux UVs du soleil. 

Sur le plan cutané, son déficit est à l’origine d’un épaississement de la couche cornée (teint terne) et des petites taches d’hémorragies sous-cutanées. En outre, la cicatrisation d'une plaie cutanée est retardée due à la diminution du collagène mature (2). Des études tendent à démontrer que la vitamine C par voie orale peut contrecarrer les carences cutanées et ainsi prévenir les dommages de la peau qui apparaissent avec l’âge (3).

L’allégation de santé (4,5) affirme l’existence d’une relation entre la vitamine C et la santé de la peau.

« La vitamine C contribue à la fonction normale de collagène pour assurer les fonctions normales de la peau et contribue à protéger les cellules du stress oxydatif. » La vitamine C est l’antioxydant le plus abondant et le plus puissant de la peau humaine. Son action anti-radiculaire est puissante, elle protège les cellules contre le stress oxydatif et elle atténue les dommages cutanés induits par les UVs (action photoprotectrice). Les formulations nutricosmétiques par voie orale utilisent la vitamine C sous forme d'acide L-ascorbique pour fonctionner comme un antioxydant en éliminant les radicaux libres responsables du vieillissement dû à la fois aux agressions externes et à l’horloge interne (6). 

Elle participe à la production de collagène dans le derme. Une étude révèle en effet que des apports en vitamine C ont été associés à une diminution de l'apparence des rides et de la sécheresse de la peau (3). La vitamine C améliore l’hydratation de la peau en augmentant la teneur en eau de l’épiderme. Dans les études d'efficacité sur la peau humaine, la vitamine C augmente de façon significative la teneur en humidité épidermique, ce qui améliore l'hydratation de la peau (7). Au total, la vitamine C réduit donc les effets du vieillissement tels que les rides profondes et superficielles, et augmente l'élasticité, la fermeté, la rugosité et l'hydratation de la peau (8). Elle a également une action anti-inflammatoire et des propriétés antimicrobiennes. Elle stimule les cellules immunocompétentes et protège contre les agents pathogènes externes. Elle permet d'éliminer les cellules infectées par les virus et les cellules cancéreuses. Elle a une action éclaircissante. Des chercheurs suggèrent que les cernes sur la paupière inférieure, qui sont causés par l'hyperpigmentation et la mauvaise circulation sanguine, sont améliorés par l'acide ascorbique. Ces résultats ont démontré les effets de la vitamine C pour supprimer la mélanogenèse (à l’origine de la mélanine), améliorer le flux sanguin et stimuler la synthèse du collagène (7).

VITAMINE B3, NUTRICOSMÉTIQUE ET PEAU

Preuves scientifiques de l’utilité de la supplémentation et de l’efficacité sur la peau de la vitamine B3 prise en complément alimentaire.

L’organisme est incapable de fabriquer la vitamine B3, elle doit donc être avalée. La vitamine B3 (ou PP) est une vitamine hydrosoluble, stable à la lumière, à la chaleur et elle résiste aux oxydations. Dans l’organisme, elle existe sous 2 formes isomères : la niacine et la niacinamide.

On trouve principalement la vitamine B3 dans la levure alimentaire qui est utilisée comme condiment pour assaisonner les salades, les légumes ou les pâtes. On la trouve aussi dans le bœuf, l’agneau, le poulet, le poisson… L’Apport Nutritionnel Conseillé (ANC) pour un homme adulte est de 14mg/jour. Sur le plan cutané, un déficit en vitamine B3 se traduit par une peau sèche, une raréfaction des cheveux. D’ailleurs, les premiers signes d’une carence de l’organisme en vitamine B3 sont cutanés, avec des rougeurs au niveau des parties découvertes, puis la peau se desquame devenant sèche et rugueuse. (9,10)

Allégation de santé officiellement autorisée : « contribue au maintien d’une peau et d’une muqueuse normale ». La niacinamide a été utilisée cliniquement en dermatologie pour traiter des affections cutanées ainsi que l'acné, la rosacée et le photovieillissement (10).

L'utilisation systémique et topique de la niacinamide dans le cas de problèmes médicaux et cosmétiques s'est révélée efficace. Le niacinamide stimule l'énergie cellulaire et peut améliorer les processus cellulaires dépendants de l'énergie tels que la réparation de l’ADN.

Des chercheurs ont prouvé que la niacinamide avait un effet stimulant sur la synthèse du collagène et des protéines de l’épiderme comme la kératine. En général, la niacinamide a permis une croissance cellulaire cutanée et épidermique améliorée. Ainsi, la niacinamide est une option thérapeutique dans le cas des changements de peau liés à l'âge (10). Il existe aussi de nombreuses preuves que la niacinamide par voie orale fournit un haut niveau de photoprotection (11).

On a pu aussi mettre en évidence l’utilité de la niacinamide en tant que complément alimentaire contre l’acné en raison de son activité anti-inflammatoire légère et de son action possible dans la réduction de la production de sébum et l'amélioration de la barrière cutanée (12).

MANGANÈSE (OLIGOÉLÉMENT), NUTRICOSMÉTIQUE ET PEAU 

Un oligoélément est un sel minéral nécessaire au bon fonctionnement d'un organisme, mais en quantité très faible. Les oligoéléments jouent donc des rôles essentiels. Ils exercent une forte influence sur la santé de nos organes et bien évidemment sur les propriétés de notre peau. Parmi les nombreux systèmes enzymatiques présents dans l’épiderme, on distingue celui qui aboutit à la formation de la superoxyde dismutase (SOD) qui intervient dans l’élimination des radicaux libres responsables des dégâts cellulaires. Ce système enzymatique est en partie manganèse dépendant.

On peut donc supposer que des modifications de la teneur de la peau en manganèse puisse avoir une répercussion sur l’élimination des radicaux libres et de ce fait sur l’inflammation cutanée et la cancérogenèse cutanée (13). On trouve le manganèse dans le son, les céréales complètes, les noix, les légumes verts en feuilles, l’ananas, les myrtilles, le thé, le gingembre, …

Une alimentation bien équilibrée doit couvrir les besoins journaliers dont l’organisme a besoin. L’Apport Nutritionnel Conseillé (ANC) pour un homme adulte est de 2 mg/jour. Les compléments de manganèse se présentent sous forme de comprimés, de gélules ou de solutions buvables, contenant divers sels comme le gluconate, le sulfate ou l’ascorbate. Les apports conseillés sont de 2 à 5mg par jour. L’ancienne Afssa (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments, désormais Anses) a défini une limite de sécurité de 10mg par jour, à ne jamais dépasser. Un déficit de l’organisme en manganèse s’exprime par une sécheresse cutanée, des ongles endommagés et un grisonnement des cheveux.

Allégation de santé : « contribue à la formation normale des tissus conjonctifs » et « contribue à protéger les cellules contre le stress oxydatif ». Antioxydant et réparateur, le manganèse possède une action antiradicalaire qui en fait un très bon anti-âge. Nous avons vu plus haut que le manganèse lutte contre les radicaux libres destructeurs grâce à sa participation à la synthèse de SOD (superoxyde dismutase) qui permet au corps de se défendre contre le stress oxydatif responsable du vieillissement cellulaire. Il est par ailleurs capable de stimuler activement la régénération de la peau et tient donc un rôle important dans le renouvellement cellulaire et dans la cicatrisation. Il intervient enfin comme acteur essentiel de l'intégrité du collagène et des systèmes de protection, pour une peau tonique, qui se répare plus rapidement. C’est un excellent anti-âge.

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L’action des vitamines C et B3 et du manganèse sur le collagène dermique est renforcée par la présence dans les gélules Skin Booster de collagène marin. Inversement, un complément alimentaire qui contient du collagène doit également contenir des actifs qui protègent contre le stress oxydatif. Le collagène nourrit la matrice extra cellulaire tandis que les vitamines C et B3 et le manganèse apportent à la peau une réserve d’antioxydants pour une protection maximum contre les radicaux libres. Le Skin Booster c’est aussi de l’acide hyaluronique pour améliorer l’hydratation et la fermeté de la peau et minimiser l’apparence des ridules.

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Dr. Polinsky

Références bibliographiques : 

1. Masaki H. Role of antioxidants in the skin: anti-aging effects. J Dermatol Sci. mai 2010;58(2):85‐90. 

2. Curtay J-P, Schotter E. Nutrithérapie : bases scientifiques et pratique médicale. 4e édition révisée et augmentée. Embourg (Belgique): Testez éditions; 2008. (NutriDoc).

3. Tabor A, Blair RM. Nutritional cosmetics: beauty from within [en ligne]. Oxford, UK; Burlington, MA: William Andrew; 2009 [consulté le 13 janv 2017]. Disponible sur: http://public.eblib.com/choice/publicfullrecord.aspx?p=631937

4. Journal officiel de l’Union européenne. RÈGLEMENT (UE) N°432/2012 DE LA COMMISSION du 16 mai 2012 établissant une liste des allégations de santé autorisées portant sur les denrées alimentaires, autres que celles faisant référence à la réduction du risque de maladie ainsi qu’au développement et à la santé infantile. 2012. 

5. Vitamine C (acide ascorbique) - EurekaSanté par VIDAL [en ligne]. [consulté le 25 mai 2017]. Disponible sur: http://eurekasante.vidal.fr/parapharmacie/complements-alimentaires/vitamine-c-acide-ascorbique.html 

6. Draelos ZD. Nutrition and enhancing youthful-appearing skin. Clin Dermatol. août 2010;28(4):400‐8. 

7. Park K. Role of micronutrients in skin health and function. Biomol Ther. mai 2015;23(3):207‐17.

8. Lorencini M, Brohem CA, Dieamant GC, Zanchin NIT, Maibach HI. Active ingredients against human epidermal aging. Ageing Res Rev. mai 2014;15:100‐15.

9. Park K. Role of micronutrients in skin health and function. Biomol Ther. mai 2015;23(3):207‐17.

10. Curtay J-P, Schotter E. Nutrithérapie : bases scientifiques et pratique médicale. 4e édition révisée et augmentée. Embourg (Belgique): Testez éditions; 2008. (NutriDoc).

11. Chen AC, Damian DL. Nicotinamide and the skin: Nicotinamide and the skin. Australas J Dermatol. août 2014;55(3):169‐75.

12. Chen AC, Damian DL, Halliday GM. Oral and systemic photoprotection: Oral and systemic photoprotection. Photodermatol Photoimmunol Photomed. avr 2014;30(2‐3):102‐11. 

13. Manela-Azulay M, Bagatin E. Cosmeceuticals vitamins. Clin Dermatol. sept 2009;27(5):469‐74.

14. Chappuis P, Favier A, Société francophone d’études et de recherches sur les éléments trace essentiels. Les oligoéléments en nutrition et en thérapeutique. Paris Cachan: Tec et doc Ed. médicales internationales; 1995.